L’or est-il éco-responsable ?
C’est en tous cas de ce métal qu’est constituée la récompense que Ecovadis a attribué à Takima pour la qualité de sa démarche RSE.
Nous sommes très fiers de cette nouvelle certification !
Cela place Takima dans le top 5% des meilleures entreprises évaluées pour leur démarche RSE ; dans la continuité de notre médaille d’argent décernée début 2021.
Cette progression de notre performance est la résultante d’une mobilisation accrue de l’ensemble des équipes et du management. La prise de conscience collective des enjeux RSE a permis en un an d’améliorer de nombreux points ; parmi lesquels notre approche vis à vis des enjeux suivants :
Mieux se connaître : mesurer ses consommations d'énergie, de fluides, capter les attentes des parties prenantes sont autant de sujets à la base d’un engagement RSE concret.
Avoir de la suite dans les idées : chaque évaluation est un bon moment pour formaliser ce qui a été fait, mais surtout ce qui va être fait. Bref, il faut délivrer en suivant une roadmap.
Être ambitieux et réaliste : Takima est fière de ses valeurs et de ses réalisations. La roadmap RSE doit permettre de faire changer les choses tout en renforçant l’ADN de l’entreprise.
Anticiper tout en s’autorisant à réagir aux événements : il faut bien doser l’effort engagé sur les actions à venir par rapport à celui requis pour réagir au mieux à ce qui n’a pas été anticipé.
Trop anticiper, c’est courir le risque de ne pas pouvoir réagir en temps réel ; ne pas anticiper, c’est prendre le risque de passer son temps à éteindre des incendies.
Une politique RSE sincère nécessite une implication sur le long terme, en acceptant de passer parfois beaucoup de temps pour des résultats qui ne sont pas immédiatement mesurables et tangibles.
Pour autant, c'est bien en menant ce type de démarche que Takima contribue à fédérer ses parties prenantes autour de ces enjeux qui, sans être nouveaux, sont à l'évidence particulièrement actuels.
En 2023, on continue avec encore plus d’énergie !
- On s’approprie nos nouveaux locaux et on s’autorise à travailler comme on aime, assis derrière un bureau, dans un canapé, debout ou en extérieur sur le roof top.
- On renforce notre attachement à prendre en compte les attentes de toutes nos parties prenantes sur tous les sujets qui comptent : les compétences, les mix entre distanciel et présentiel, les rythmes, l’implication, la responsabilisation par exemple.
- On généralise nos automatismes naturels pour consommer moins et mieux.
- On partage l’information et on favorise les initiatives d’équipe ou individuelles.
- On se relance dans un projet artistique complètement décalé, parce que le RSE c’est aussi explorer d'autres approches.
Ce qu’on ne fera pas : du « RSE washing », évidemment !
