Mon banquier me disait ...

les PME et ETI ont une souvent une stratégie digitale inefficace, trop centrée sur les outils, et pas assez sur la stratégie et la vision du métier.

Mon banquier me disait ...
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Mon banquier me disait :

“il existe de très belles PME, mais si elles ne bougent pas sur le digital, elles vont se prendre une rouste.”

J'adore ce genre de petites phrases, car on sait que c'est vraiment ce que pense votre interlocuteur !

Quand votre banquier se rend compte des difficultés que vous rencontrez dans la mise en œuvre de votre stratégie digitale, c’est sans doute qu’il est temps d’agir, et vite !

Pourquoi le banquier s’intéresse t’il à ça ?

Parce que pour lui la bonne performance opérationnelle de ses clients lui garantit qu’ils vont se développer, et qui dit développement, dit financements, donc dossiers à défendre auprès des comités bancaires chargés d’évaluer le risque de prêter.

Plusieurs éléments comptent, évidemment d’ordre financier (le passé, et le futur projeté), mais aussi notamment :

  • Lié à l’“intuitu personae”: le banquier aime t’il la personnalité des dirigeants, a t’il confiance en eux,
  • Lié au RSE: ce score RSE a pris beaucoup d’ampleur ces dernières années, notamment parce que cela permet à la banque de structurer ses encours de crédit en tenant compte de la performance environnementale des entreprises,
  • Lié à la Performance Opérationnelle sous toutes ses formes.

La performance opérationnelle va en effet être un contributeur important de la capacité de l’entreprise à dérouler son Business Plan, et donc à délivrer les performances financières qui permettent le remboursement du prêt, ou la prise de nouveaux engagements financiers.

Mon banquier étant depuis des années à nos côtés, il est fortement sensibilisé à la composante digitale et à ses impacts dans les PME et ETI : en effet, lors de nos rendez-vous, nous consacrons toujours du temps à partager notre vision sur nos métiers et marchés respectifs.

Lui comme moi rencontrons de plus en plus d’entreprises confrontés à des blocages, dont beaucoup sont imputables à une approche du digital perfectible ; quand elle n'est pas complètement datée.

Je suis intimement convaincu que l’origine du problème est pour ces entreprises d’avoir construit la DSI en considérant le digital uniquement comme un outil au service du métier.

Pourquoi le pouvoir du digital est-il sous estimé ?

Un des facteurs aggravants est d'avoir mené (ou de mener encore...) cette démarche digitale en silos, Direction par Direction : cela engendre une difficulté à identifier et remonter les enjeux au niveau de l’entreprise dans sa globalité.

La somme de visions ne permet pas à elle seule d'aboutir à une stratégie, tout au plus concoure t'elle à une approche tactique intéressante.

Au milieu de cela, les équipes tentent de trouver un chemin pour le digital, en se focalisant souvent principalement sur la réduction des coûts (comprendre, refuser tout investissement significatif dans le digital) et la maîtrise interne de serveurs et d'une pléthore de logiciels, erp, SaaS, low code  installés depuis des années...

Ces trois “limites” contribuent à créer des DSI centrées sur l’outillage digital au prix le plus bas, avec un lien trop ténu ou inexistant avec la stratégie et le métier de l’entreprise.

Bref, le digital n'est vu que comme un mal nécessaire dont il faut limiter les coûts ; sans arriver à imaginer qu'en le mettant au coeur de la stratégie, il permettra de booster le business, de trouver de nouveaux marchés et de faire trembler la concurrence.

Alors, on fait comment ?

🚀 Chez Takima, avec notre démarche CapIT360, nous aidons les grosses PME et ETI à débloquer la puissance de la Tech.

A l'heure de l'IA, de la souveraineté digitale européenne, de la mitigation des risques cyber, c’est un travail passionnant que de pouvoir contribuer à ce que les #CEO et #CTO disposent d’une DSI de #combat pour aller au delà de leurs ambitions business et métier.